Andrée Baribeau

Andrée Baribeau

Arts visuels – Photographie et imagerie numérique

Démarche artistique

Néophyte, elle commence à dessiner au début de la cinquantaine. Les loups deviennent ses premiers Dieux, au bout de mon crayon. En septembre 2003, cette nouvelle passion s’épanouit et elle débute la peinture. Elle choisit l’acrylique sans hésitation, un médium simple et sans odeur. Séduite par la thématique amérindienne, amoureuse des animaux et de leurs symboles spirituels, elle devient peintre animalier bien malgré elle.

En 2006, à l’affût de nouveautés et éprise du besoin pressant de se nourrir de ses propres images, la photographie se greffe naturellement à la peinture. Un an plus tard, empressée de découvrir d’autres façons de s’exprimer, elle expérimente l’abstrait.

Finalement elle délaisse totalement la peinture et la photographie prend tout l’espace. Depuis 2010, l’imagerie numérique est devenue de plus en plus présente à travers ses œuvres photographiques.

 

Pratique

Photographie

Imagerie numérique

 

Réalisations 

Andrée Baribeau a participé à quatre symposiums de peinture au Parc des Chenaux de Trois-Rivières entre 2005 et 2008. Elle a exposé ses photos, entre 2007 et 2015, au Centre culturel Pauline Julien, à la bibliothèque Fabien-Larochelle, à celle de Grand-Mère, au Café Figaro, au Parc de la rivière Batiscan, à la Galerie d’art du presbytère de Champlain et ay Symposium coopérative des Chenaux en art visuel.

 

Informations supplémentaires

En 2012, elle a écrit son autobiographie : Eaux troubles de l’intérieur sans pudeur. Elle a également participé à deux recueils collectifs de poésie : Murmures de l’Ancien Monde et Féminin sacré. En 2018, elle lance un deuxième roman : L’homme qui avait un chien. (Source)